Le 1er satellite 100% made in Algeria
L’Algérie n’a pas opté dans cette industrie de pointe pour une acquisition d’équipements clés en main, mais a développé une stratégie pour opérer un transfert technologique et arriver à réaliser d’ici deux ans son propre satellite au niveau du CDS de Bir El-Djir, nous a confié le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Moussa Benhamadi. La finalité n’est pas de construire un satellite, mais d’arriver à maîtriser toute la chaîne en amont et en aval du procédé en ayant à l’esprit les retombées techniques, scientifiques et industrielles.
Celles-ci sont immenses et utiles pour la totalité des entreprises algériennes, la micro- mécanique, le carburant, les vibrations, les panneaux solaires, autant de segments sur lesquels planchent les ingénieurs algériens de l’ASAL et qui seront à terme des outils de travail précieux pour développer un système, grâce au programme spatial, qui couvre le territoire national. Les perspectives dans les tics entre autres, mais aussi des informations stratégiques pour l’ensemble des intervenants comme Alsat l’a fait par exemple, durant les inondations du M’zab ou d’El-Bayadh, à la Protection civile sont évidentes.
Après les deux satellites « Alsat 1″, lancé le 28 novembre 2002, et « Alsat 2A », ALSAT-2A, mis en orbite le 12 juillet 2010 par la fusée indienne PSLV depuis la base de lancement de Sriharikota, le CDS, inauguré jeudi par le President de la République, est appelé à fabriquer, avec des équipes de spécialistes et d’ingénieurs algériens, ses propres satellites, dont « Alsat 2 B »
Incha'allah on ira loin !
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