MADE IN ALGERIA

une usine de montage d’hélicoptères agusta pour l'algerie   Du côté algérien, on veut absolument peauf iner le dossier de l’installation d’une usine de montage d’hélicoptères. En effet, l’Algérie avait lancé des négociations avec Agusta Westland, af in de mettre en place une usine en Algérie et transmettre le savoir faire de cette compagnie, notamment en matière de la formation des off iciers et des cadres militaires, en ce domaine. Les Italiens sont prêts à assister l’Algérie dans le domaine de la technologie militaire aérienne, à travers l’installation d’une usine de fabrication de matériels militaires. Les dirigeants de cette compagnie sont disposés à se lancer dans ce projet, surtout que l’Algérie compte acheter des hélicoptères militaires de cette même compagnie. On parle d’un contrat de 5 milliards USD, pour l’achat de 80 hélicoptères ultra rapide, de marque Merlene. Pour rappel, des responsables du MDN se sont rendus, la semaine dernière, en Italie, pour

 trois années de vie en orbite d'Alsat-2A Il y a trois années, le 12 juillet 2010, le satellite algérien d’observation de  la  Terre  Alsat-2A  était lancé avec succès depuis le site de Sriharikota à Chennaï (Sud - Est de l’Inde). Depuis sa mise en orbite, Alsat-2A est entré en phase d’exploitation opérationnelle avec plus de 52 000 produits images réceptionnés à ce jour, couvrant une superficie de plus de 4,2 millions de km2. Les opérations en autonomie du satellite Alsat-2A sont assurées par des équipes algériennes qualifiées, permettant ainsi la prise de vues des images et  veillant à leur qualité, au suivi, au contrôle et à la surveillance du satellite. La résolution spatiale des images Alsat-2A : 2,5 mètres en mode panchromatique et 10 mètres en mode multispectral ouvre un large spectre d’applications spatiales. En effet, l’utilisation des technologies spatiales pour le développement du secteur utilisateur  constitue  le cœur des actions prioritaires inscrit

Un complexe pétrochimique pour Béjaïa La wilaya de Béjaïa vient officiellement d'être retenue pour l'implantation d'une nouvelle zone industrielle pétrochimique. Un projet dont les grandes lignes ont été présentées, lundi dernier, par des cadres de Sonatrach, lors d’une réunion de travail tenue à la salle des délibérations de la wilaya. Une rencontre présidée par le président de l’Assemblée populaire nationale (APW) Mohamed Bettache et le secrétaire général de la wilaya, et à laquelle étaient conviés des directeurs de l’exécutif et des élus locaux. Béjaïa dispose, selon le président de l'APW,   «de tous les critères nécessaires pour abriter un tel projet». Il   n'a pas manqué de rappeler qu’un projet d’une raffinerie avait déjà été attribué à la wilaya, mais délocalisé, en 2005, vers une autre région. Avant que les techniciens de Sonatrach ne tranchent cette question, des visites sur sites ont été effectuées. La première, avant-hier, à l’issue de la

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EXPOSTAND DZ SOUHAITE A TOUS LES MUSULMAN BONNE FÈTE DE L'AIDE

Grâce à un nouveau règlement de la BA, les banques vont financer la production ALGER- Le financement de la production nationale sera ’’aussi compétitif’’ pour les PME que le dispositif destiné l’importation, grâce à un nouveau règlement de la banque d’Algérie, indique mardi le délégué général de l’ABEF. Le règlement 13-01 du 8 avril 2013 de la BA, fixant les règles générales en matière de conditions applicables aux opérations de banques, ’’encadre de manière très stricte les conditions de financement de la production, les rendant désormais aussi compétitives que celles encadrant l’importation’’, a précisé M. Abderrezak Trabelsi dans un entretien à l’APS. Le nouveau règlement ’’réduit les commissions bancaires sur les importateurs ce qui poussera les banques à aller rechercher ce manque à gagner chez les producteurs et rétablira ainsi la compétitivité du financement de la production au détriment de l’importation’’, selon lui. Mais cela ne suffira pas, selon le porte-parole

Nouveaux parcs industriels : une première tranche opérationnelle dès le 1er trimestre 2014 ALGER - Les premiers parcs industriels, lancés dans le cadre d’un programme de 42 nouveaux parcs industriels, seront opérationnels dès le premier trimestre 2014, a annoncé mardi à Alger la Directrice générale de l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière (Aniref) Hassiba Mokraoui. Doté d’une enveloppe financière de 88 milliards de DA, "le vaste programme de réalisation de 42 nouveaux parcs industriels s’étale jusqu’à 2017, et au premier trimestre 2014, on aura réceptionné quelques zones industrielles", a-t-elle déclaré lors d’une conférence de presse. Selon Mme Mokraoui, la totalité du programme des zones industrielles sera achevée en 2017, précisant que ces espaces économiques conçus suivant les standards mondiaux sont situées dans 34 wilayas sur une superficie globale de 9.572 hectares (ha). Actuellement, l’Aniref se penche sur l’examen des soumissions p

Cosider compte se positionner sur le marché africain à partir de 2014 (PDG) ALGER - Le groupe public de BTPH Cosider ambitionne de se positionner sur le marché international notamment en Afrique à partir de 2014, a indiqué mardi à l’APS son PDG, Lakhdar Rekhroukh. Cosider cible, dans un premier temps, le continent africain, a confié M. Rekhroukh, rappelant que le groupe public avait déjà soumissionné pour la réalisation de projets au Sénégal, en Tunisie et en Egypte sans parvenir à décrocher de marchés. "C’est difficile pour Cosider de travailler seul dans un pays étranger. Il est nécessaire de conclure un partenariat avec une entreprise locale ou un groupe international capitalisant une expérience à l’étranger ou dans le pays lui même", a-t-il souligné. Cosider qui connaît actuellement "une dynamique" à la faveur de plans de charge publics, projette à partir de 2014 de maintenir ce rythme en accroissant ses activités à l’étranger, selon M. Rekhroukh.

Résultats positifs pour Mobilis en attendant l'entrée en bourse en 2014 L’opérateur mobile public Mobilis a enregistré des résultats positifs au premier semestre de l’année 2013, selon son PDG Saad Dama. Ces performances sont à mettre à l’actif de la levée par l’Etat, son actionnaire unique, des obstacles bureaucratiques qui ont longtemps entravé le développement de l’opérateur historique. Le chiffre d’affaires de Mobilis a progressé de 25 % par rapport au premier semestre 2012, alors que son bénéfice avant déduction des charges financières, des impôts, des provisions et amortissements (Ebitda) a atteint les 14,2 milliards de DA a indiqué ce mardi Saad Dama, le patron de l’opérateur public lors d’une conférence de presse organisée à Alger. Le portefeuille clients s’est également renforcé depuis le début de l’année avec près de 873 000 nouveaux abonnés dont 100 000 en postpayés, pour s’établir à plus de 11, 4 millions d’abonnés. Mobilis a par ailleurs  investi 100 millions

90 projets pour 6 milliards de dollars Le nombre de projets  validés par le conseil national de l’investissement a connu une augmentation conséquente durant le premier semestre de l’année en cours, contre la période de l’année dernière. Cette hausse est évaluée à 53,7%, représentant 90 projets contre 58 en 2012. C’est la conclusion à laquelle est arrivé le CNI qui a présenté aujourd’hui, par le biais de l’Agence nationale du développement de l’investissement. La rencontre a eu lieu à Djenane El Mithak en présence du ministre de l’Industrie, de la Pme et de la Promotion de l’investissement. Mais aussi des représentants du patronat public et privé et de l’UGTA, ainsi qu’un parterre d’hommes d’affaires. Une présence, cependant très remarquée en la personne de Abdelwahab Rahim qui prend part pour la première fois à ce genre de conclave. Le patron de Ardis représentait en fait l’organisation AIDA (Association internationale de la diaspora algérienne. Pour en revenir au bilan il

Métro et tramway d'Alger 39 millions de passagers recensés Le métro et le tramway sont désormais les deux transports en commun que les Algérois préfèrent. En effet et d’après les chiffres annoncés par  l'Entreprise du métro d'Alger (EMA),  plus de 39 millions de passagers ont utilisé le métro et le tramway d'Alger depuis leur mise en service, respectivement, en novembre 2011 et mai 2012. Les raisons de ce choix sont surtout la ponctualité et les conditions de confort à l’intérieur de ces moyens de transports, à savoir la climatisation et la propreté mais surtout la rapidité pour ce qui concerne le métro. D’ailleurs, 21 millions de passagers ont utilisé ce moyen de transport dans la capitale, jusqu'à fin juin dernier, a indiqué à APS, le P-DG de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA), Aomar Hadbi. Il a fait savoir également que le nombre d'usagers de la ligne du tramway d'Alger s'est élevé à 18 millions de voyageurs durant la même pér

M. Tou procède au lancement des travaux de réalisation du tramway de Mostaganem MOSTAGANEM - Le ministre des Transports, M. Amar Tou, a procédé dimanche au lancement des travaux de réalisation du tramway de Mostaganem confiés à un groupe franco-espagnol. Dans une déclaration à la presse, M. Tou a signalé que ce projet, qui permettra la restructuration et l’embellissement de la ville, devra générer 1.000 postes d’emploi lors de sa réalisation et 500 autres permanents lors de sa phase d’exploitation. Le ministre a rappelé que Mostaganem figure parmi neuf wilayas qui ont bénéficié de ce moyen moderne de transport, signalant que les travaux d’extension et de prolongement du tramway d’Alger sont en cours, en attendant l’ouverture des plis dans les prochains jours pour l’extension des lignes à Constantine et Oran. Les travaux des tramways de Ouargla, Sidi Bel-Abbès et Mostaganem ont été lancés et seront suivis à la fin de l’année en cours par ceux des villes de Sétif, de Annaba

Deux entreprises algériennes signent un protocole d’accord avec une firme française Deux entreprises algériennes, Inatel et Enpec , ont signé, ce dimanche 4 août, un protocole d’accord, dans la filière de biens d’équipement, avec l’entreprise française Amptec, spécialisée en électrotechnique et en électronique de puissance, a-t-on appris auprès du ministère de l’Industrie. Ce protocole vise à créer une entité pour le développement de produits électroniques de puissance et de sous-traitance électronique, précise la même source. Un chiffre d’affaires d’un montant de 300 millions de dinars par an est attendu de ce projet qui sera implanté à Tlemcen, selon la même source. Le projet consistera à produire des équipements électriques utilisant les batteries destinés à stabiliser le réseau électrique au niveau domestique, des équipements pédagogiques pour l’enseignement et la réalisation de cartes électroniques. Selon la même source, un autre protocole d’accord a été signé, jeud

La première puce électronique algérienne sera fabriquée à partir de janvier 2014 (Aourag) ALGER- L’Algérie procèdera, à partir de janvier 2014, à la fabrication de sa première puce électronique qui sera utilisée dans différents domaines d’activité, a annoncé dimanche à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Abdelhafid Aourag. "Nous allons procéder, à partir de janvier 2014, à la fabrication de toutes sortes de puces et nous serons en mesure de faire face à la demande du secteur socio-économique en matière de fabrication de puces électroniques", a déclaré à l’APS M. Aourag à l’APS. Implantée au niveau du Centre de développement des énergies renouvelables avancées (CDER), la centrale électronique où seront fabriquées ces puces est en phase de finition à "98 %", alors que les tests d’équipements prendront "trois mois", a précisé M. Aourag en marge de la visite du ministre de l’Enseignement s

Tramway d’Alger : le tronçon Bordj El Kiffan-Café Chergui parachevé fin octobre ALGER - Le ministre des Transports, Amar Tou, a indiqué samedi à Alger que le tronçon Bordj El Kiffan-Café Chergui de l’extension du tramway d’Alger sera parachevé fin octobre 2013. Le tronçon Bordj El Kiffan-Café Chergui de l’extension du tramway d’Alger sera parachevé fin octobre 2013, a précisé M. Tou lors d’une visite d’inspection du chantier de l’extension Bordj El Kiffan-Dergana sur 7 km, sans donner de détails sur le tronçon de 1,4 km Café Chergui-Dergana. Le ministre a souhaité que ce tronçon soit mis en service avant la fin de l’année, soulignant que le projet avait accusé un retard en raison de difficultés de déviation des réseaux, notamment celui de l’assainissement. Les travaux ont également été suspendus pendant plus d’un mois suite aux protestations de certains habitants concernant l’emplacement des stations, a-t-il fait savoir, assurant que leurs revendications seront examinées

Le projet de construction de voitures de Bouchkif à Tiaret sera relancé (Sellal) ALGER - Le projet de construction de voiture à Bouchkif sera relancé, suite à un partenariat entre une entreprise algérienne et le constructeur allemand Mercedes, a indiqué jeudi à Tiaret le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. "Nous sommes sur la bonne voie. Il y a eu un partenariat entre une entreprise algérienne et l’entreprise Mercedes de production de voitures sur la base des 51% - 49%", a indiqué M. Sellal lors d’une rencontre avec la société civile de la wilaya de Tiaret dans le cadre de sa visite de travail et d’inspection dans cette région. Il a précisé que le projet est programmé "entre avril et mai 2014" et la première voiture produite sera une 4x4. D’autres types de voitures suivront tels que les véhicules touristiques, a-t-il ajouté. Un millier d’emploi seront créés la première année et le double les deux années suivantes pour atteindre les 3.000, a précisé

créateur de la chaussure Baliston et de Glaglashoes Son parcours ressemble à un conte de fées. Sa réussite en France et surtout à l’international est le fruit d’un dur labeur, d’un engagement sans faille et aussi d’une témérité chevillée au corps. Raconter cette success-story, c’est  tenter de saisir la fougue avec laquelle le jeune Karim Oumnia entreprend ses projets. Issu d’une famille originaire d’Azazga (Tizi Ouzou), Karim est né en juillet 1967 à Alger. Après un diplôme obtenu à l’Ecole nationale polytechnique d’Alger au début des années 90, il décide, dès lors, de tenter sa chance en France. Il intègre l'Ecole des mines de Nancy, où il ressortira, une année après, avec un diplôme d’ingénieur, avant de travailler, durant la même période, comme enseignant à l’université. Après quelques mois d’enseignement à Institut national polytechnique de Lorraine et à Metz, Karim s’oriente vers des laboratoires de recherches, où il creuse son sillon et donne libre cours à ses penchan